dimanche 16 septembre 2012

Âge moyen, ou Moyen Âge ?

Ca y est, j'ai 23 ans. Un jour de plus qu'hier quoi.
Sur le billet précédent de ce bolg (oui oui, j'ai encore écrit "bolg", c'est toujours voulu, cf billet précédent), je me trouvais déjà vieux mais là... Non rien n'a changé, en fait.

Je suis toujours le même demeuré sans emploi que j'étais à mes 22 (v'la les schtoumpfs), je suis toujours brun, mis à part une roukmoutisation de la barbe... Tiens toujours aussi peu berbe d'ailleurs (je trouve le mot "imberbe" beaucoup plus drôle séparé du "im"). Bref, un anniversaire qui aura au final fort peu compté dans mon esprit, symboliquement parlant.

Hein c'est pas drôle ? De toute façon, tu n'es pas réel. Pourquoi je me ferais caguer à écrire une espèce de chronique introspective pour un internaute inexistant, bordel de berbe !?

Et je me rend compte de la double absurdité de ce que je viens de dire : tout d'abord, je suis effectivement en train d'écrire une sorte de chronique introspectivo-psycho-muche, et en plus si effectivement quelqu'un la lit il risque de se sentir offensé. Je vais donc effacer cette phrase...

...

Bon je suis coincé, si je l'efface, je respecte le dernier paragraphe mais celui-ci n'aura plus aucun sens sans la phrase qui le précède, du coup au final il ne servira plus à rien, et n'aura plus vocation à être respecté. Je vais donc prendre une petite pause, et faire une division par 0 pour me détendre.

BOUM !

Toujours est-il, paradoxes stupides mis à part, qu'il faut que je tente d'ajouter un peu d'humour à ce billet, sans quoi le lecteur imaginaire que tu es risque de s'ennuyer.

Tu sais quoi ? Tant pis pour toi, Hannibal !
Pour une fois c'est moi qui vais me marrer : je vais t'obliger à lire une vingtaine de paragraphes inintéressants juste pour le plaisir.
Ok ok, ne pars pas. Promis le prochain sera bien meilleur...

Peut être même que je lancerais un nouveau blog, sans doute thématique... Un truc moins auto-centré, ce qui me donnera moins de fil à tordre (je le retordrais plus tard). Peut-être une chronique sur le monde du numérique. Un truc bien consensuel et chiant. Ou pas...

L'avenir nous dira merde ! Et les vaches nous garderont bien.


Pendant ce temps, deux olibrius élaborent une théorie du complot illuminati dans laquelle Jésus est un spaghetti.

jeudi 5 avril 2012

It was a loooong loooong night !



Des T'rals, peuple hybride issu de mon JdR

Hello, internautes dégénérés (mot qui doit être l'un de ceux, dans la langue française, qui comportent le plus de "é" je pense... Faites le calcul).

Je me rend compte que ça fait un bon moment que j'ai plus pensé à poster quoi que ce soit là dessus.

Donc pour résumer ce qui est arrivé dans ma vie depuis :
J'ai fini mes études (ENFIN !) et je suis aujourd'hui un graphiste reconnaissable (et oui, pas encore reconnu, mais j'ose espérer que ça viendra).
Nadège et moi filons encore le parfait amour, bien installés que nous sommes dans notre nid douillet nouvellement acquis, à savoir une maisonnette de 60m² sur deux étages.
Mon Jeu de Rôle avance doucement mais sûrement. Il a aujourd'hui enfin un nom définitif : "Mase".
Je continue de faire du JdR et du GN (Et pour ceux qui ne savent pas ce que c'est, lisez les billets précédents de ce blog, bande d'incultes).
Et enfin, je suis engagé depuis deux ans dans un groupe de musique nommé CNC, alias "Capote Non-Contraceptive"... Euh, "Certifié Non-Conforme" (bien que je préfèrerais la première option...bref !).

Et voila pour le résumé chiant de ma vie normale. Mais là n'est pas le propos de ce blog dont j'avais pris le parti de faire un espace exutoire pour mon cerveau malade. Mais le fait est qu'aujourd'hui, même si mes circonvolutions sont plus tortueuses que jamais, je ne sais pas quoi dire. L'envie m'a simplmement pris de poster quelque chose sur ce bolg que plus personne ne lit, si tant est que quelqu'un l'ait un jour suivi. Oui oui, vous avez bien lu, j'ai écrit "bolg" au lien de blog. C'était voulu.
Pourquoi ? PARCE-QUEEEEEE, MAIS PARCE-QUEEEEE ! (Prenez un Orangina, Emile.)
La raison est simple : parce-que je suis tellement en panne d'inspiration que je trouve tous les prétextes pour broder quelques lignes supplémentaires.

En relisant les anciens billets de ce blog, je m'aperçois que j'ai tout de même un peu muri depuis les débuts de mon aventure Jblaguesque.

"On a trop déliré"... Quelle expression de jeune décérébré (mot qui contient autant de "é" que "dégénéré", ce qui me fait prendre conscience que ma réflexion de tout à l'heure était complètement crétine). Ce sont des idiotismes (combinaison d'idioties et d'automatismes) dans ce genre qui me font noter une chose : A 22 ans, je commence à parlé d'"expression de jeune". JE SUIS VIEUX !

Et tiens, à ce sujet, je repense à une soirée d'anniversaire il y a quelques semaines. Notre cher Henri-Pierre, encore Lycéen mais bien plus mature que ses pairs, nous a encore donné à voir les joies d'être "vieux" au milieu de "jeunes". Par vieux et jeunes, j'entends "à peu près matures" et "foufous découvrant la vie de grand".
Aucune gestion de soi, des amourettes qui se commencent une semaine avant et se finissent mal au cours de la soirée parce-que unetelle était tellement imbibée qu'elle se collait à tous les mecs qui passaient... Marrant mais très vite agaçant.

Bref, à 22 ans je me sens déjà vieux. Je dirais volontiers que ça craint du boudin.

Bon je met fin ici à ce post moyennement pas drôle, et vous promet, chers internautes chimériques, de tenter à nouveau d'écrire un petit quelque-chose un jour prochain, lorsque mon inspiration sera plus vivace et qu'un vrai sujet se présentera à mon crâne poivre et sel (j'anticipe un peu, là).

Et pendant ce temps-là, ma guitare pète une corde en signe de rébellion contre le despotique médiator qui la frappe continuellement et en rythme.

mercredi 8 juillet 2009

Cadwallon : Acte 5 : Syhar Wars, L'attaque des Clones

Au matin, en nous levant, nous apprenions qu'il serait d'une importance capitale de transporter la cuve jusqu'au laboratoire SO48, puisque en raison de la quantité insuffisante de liquide dans la cuve le rituel n'avait été que partiellement efficace. De plus, le pouvoir de la gemme de ténèbres semblait avoir été amoindri avant le rituel.
L'usurier nous avait dupé. Et cet escroc venait à présent à Vorak lui demander si son rituel avait fonctionné. Définitivement, il devenait gênant avait largement outrepassé les limites de ce qu'il pouvait savoir de nous. Ainsi lorsque lui et Vorak s'éloignèrent pour converser au calme, Nelzehm les suivit dans l'ombre et lorsqu'ils furent suffisemment isolés, l'usurier n'eut pas le temps de réciter ses dernières prières, la dague de notre assassin lui ayant coupé les cordes vocales en même temps que le reste de la gorge. Je portai alors le cadavre dans le sous-bois où il fut enseveli et laissé en pâture aux insectes.

Nous recevions alors une nouvelle missive de nos commanditaires qui nous donnaient rendez-vous à la cuve ou des clones nous attendraient pour créer la diversion.
Sur place, nous trouvions en effet cinq de nos compatriotes, tous sous l'effet de mutagènes (des drogues de combat très utilisées par les Dirz et qui décuplent leur capacités sur le champs de bataille). La cuve une fois hors du laboratoire, nous devions, Vorak, Ashar et moi, contourner le quartier avec, par le chemin de ronde, en profitant de la diversion que nous offriraient les autres au milieu du quartier.
Nelzehm qui partit en reconnaissance ne revint pas et nous apprîmes plus tard que ce dernier avait été attrapé et exécuté.

Notre éclaireur en mauvaise posture face aux griffons en colère

La mort de l'usurier nous avait démasqués et nos têtes étaient désormais mises à prix.


Il s'agissait à présent de faire vite. Nos clones et Novius, le Biopsiste qui leur servirait de chef, partirent au centre du quartier, complètement sous l'effet de tous les mutagènes possibles, pleins de tics nerveux, et presque en transe.



L'arrivée des clones au centre du quartier

Ces derniers combattirent comme de beaux diables et firent une énorme percée dans les rangs ennemis, se relevant encore après avoir subi les pires coup grâce au mutagène.


Mais leur sous-nombre ne joua pas en leur faveur et il finirent tous par tomber, définitivement cette fois.

Leur sacrifice ne fut pourtant pas vain, car mes deux compères et moi ne rencontrâmes ainsi aucune résistance en chemin et la cuve arriva à destination. Vorak et moi avons été soigné de la peste qui nous rongeait, et j'ai moi-même complété mon génome avec celui de notre maître tout comme mon frère Ashar.
La cuve et la génothèque en notre possession, nous allons pouvoir cloner le plus grand mage de tous les temps à l'infini. L'akylanie, Cadwallon et toutes les autres nations s'inclineront bientôt devant nous, et crouleront sous les ruines de leurs gloire passée.

Gloire au dieu scorpion. Gloire a Dirz.





Voila pour l'histoire de notre réussite au GN, racontée par mon personnage, le clone de Dirz HR-001, alias Ashur.

mardi 7 juillet 2009

Cadwallon : Acte 4 : l'usurier à l'usure

Pendant que les artificiers creusaient les gravats pour retrouver un Nelzehm qu'ils croyaient enfoui, nous apprenions que la pierre de ténèbres était dans les mains des usuriers. Nous décidions alors de présenter Vorak à notre ancien employeur. Notre prêtre réussit à jouer subtilement de sa verve et à convaincre l'usurier en chef de nous céder la pierre pour 400 ducats et une reconnaissance de dette de 400 autres. Mais notre commerçant souhaitait toutefois consulter d'abord son conseiller mage avant de nous la faire parvenir.

Le conseiller en magie et la femme de l'usurier

Commença alors une attente longue, très longue, pendant laquelle les creuseurs eurent le temps de finir leur office et de découvrir la cuve qu'ils vidèrent en partie. Toutefois ils ne virent personne a l'intérieur. En effet, un groupe de griffons aventureux s'était engagés dans les catacombes pleines de morts vivants peu avant cela, et avaient, par chance, évité les pièges et les clones. Ils avaient trouvé un Nelzehm étendu par terre, et nous l'avaient ramené (sans apercevoir la cuve derrière lui). Ce dernier qui jouait seulement le mort (étant sensé avoir reçu des cailloux sur la tête suite a l'explosion) nous avoua avoir été fouillé et dépossédé de notre ordre de mission, un parchemin en langue du désert, mais qui, s'il était traduit, lèverait notre couverture.

Notre Nelzehm sorti par les griffons d'akylanie du fond des catacombes

Il partit alors guêter celle qui lui avait ravi ce papier, et lorsqu'elle fut seule, l'assoma et la transporta dans notre chambre ou il l'interrogea en ma présence sur l'emplacement actuel du parchemin. Cette dernière ne voulant pas parler, elle fut réduite au silence d'un coup de lame sur la carotide.

La pauvre deuxième victime de notre guide (et à l'arrière, le régisseur, encore vivant au moment de la photo)

Mais nous ne tardions pas à voir venir l'un des griffons qui, ayant subit de nombreux sermons de ma part pour "nous avoir jugé trop vite sur des critères honteux", se sentait imbu d'une dette envers nous, et venait tout penaud nous demander, contre rétribution, de lui lire un parchemin en langue du désert que lui et son groupe ne tarderaient pas soit-disant à acquérir. Nous acceptions volontiers, prêts à traduire une lettre d'amour.

Enfin le moment tant attendu arriva et l'usurier se décida, plus de trois heures après nos négociations, à nous donner notre pierre. Toutes les pièces du puzzle étaient réunies, plus qu'à accomplir le rituel.
Mais à ce moment précis, à la taverne en contrebas, des gens sortaient en courant et en hurlant. La peste était de nouveau dans le quartier. Et malheureusement avant même d'aller accomplir le rituel, nous étions tous contaminés, excepté Ashar. Nous profitâmes alors de la cohue générale pour aller accomplir le rituel sur lui.


(On ne voit pas grand chose, mais Ashar ayant retiré son armure plonge dans la cuve, Novius s'occupe des détails techniques, pendant que Vorak improvise un discourt pour invoquer Dirz. Nelzehm et moi gardions la porte du souterrain.)

Une fois celui-ci accompli, nous prélevions un peu de sang de notre nouveau Dirz, et nous l'envoyions à nos commanditaires au SO48 pour qu'il puisse l'analyser et le re-cloner.

Il était temps d'aller nous reposer. Le lendemain, il faudrait se lever tôt pour transporter la cuve en dehors de la ville au nez et à la barbe de tous et rentrer chez nous avec les honneurs.
Mais notre mission n'était pas parfaitement accomplie...

Cadwallon : Acte 3 : Nelzehm sur le point d'exploser

Vorak, de par sa subtilité légendaire, gagnait petit à petit la confiance des autres délégations et se faisait un nom en tant que chroniqueur.
C'est ainsi qu'il apprit que le contenu de la génothèque circulait actuellement librement en Cadwallon. Il ne manquait plus que cela. Et les malandrins qui les possédaient en demandaient bien sûr un prix exorbitant.

Vorak jaugeant la situation

Notre orateur fit donc une demande de fonds auprès du laboratoire SO48 : 500 ducats, une somme énorme ! Mais celle-ci fut acceptée et on nous donnait rendez-vous plus tard dans les catacombes pour la livraison de cet argent.
Pendant ce laps de temps, Vorak se chargeait de retrouver et de négocier ces gènes (que tout le monde prenait pour de simples pierres de magie bleues).

Dans le même temps, des rumeurs sur la porte verrouillée de l'intérieur et notre Nelzehm se propageaient. Ce dernier accomplissait un travail fou. Se faisant passer lui aussi pour une victime et jouant à merveille la folie claustrophobe, il attirait la compassion des autres qui voulaient maintenant le libérer, lui et la courtisane, toujours inconsciente.

Nelzehm suppliant les gens de le faire sortir.

Mais le seul moyen d'ouvrir cette porte depuis l'extérieur était de la faire sauter avec une charge gigantesque de poudre. Or nous savions qu'une telle dose d'explosif ne manquerait pas de faire s'écrouler les escaliers également et ainsi de boucher cet accès. Notre première visite nous ayant appris qu'un autre accès existait dans les catacombes, cela ne nous gênait guère, bien au contraire, nous étions confiants en notre guide qui, dans les moments de calme, y postait des clones et des pièges pour prévenir d'une éventuelle intrusion par le bas.

Une bonne nouvelle, enfin : dans l'après midi, après l'assassinat du régisseur, une révolution populaire était survenue. Un groupe de gens masqués et effrayants - que nous faisions passer pour les réels servants des ténèbres depuis le début (sans aucune difficulté, les gens ayant le délit de faciès facile) - fût décimé, après quoi le peuple, profitant de la cohue générale, s'attaqua à la milice entière et l'exécuta sans autre forme de procès.

Nos boucs-émissaires (masque remonté)

Novius, mon frère et moi regardions calmement la scène d'au dessus lorsque nous fûmes harangués en tant que membres des lames par le chef des usuriers qui craignait pour sa vie désormais. Nous décidions alors de devenir ses gardes du corps un moment pour s'attirer ses bonnes grâces qui pourraient être utiles par la suite. Notre protection "contre le peuple et ces sales Dirz" lui ayant semblé efficace, il nous congédia après nous avoir grassement remercié.

L'usurier (sans son accoutrement de noble)

Lorsque nous eûmes récupéré l'argent et les gènes, au prix de moult difficultés et d'âpres négociations, nous fûmes avertis que notre ami allait être libéré a grands renforts de poudre.
Une fois là-bas les griffons nous alertaient d'arrêter cette folie, car un autre accès existait. Vorak fit magnifiquement jouer ses talents d'orateur pour encourager les artificiers à "ne pas écouter ces griffons qui veulent garder la part du roi pour eux et qui ne causent que des problèmes depuis leur arrivée". Aisément convaincus, les adeptes de la poudre laissèrent parler leur folie destructrice et la porte ainsi que les escaliers tombèrent en ruine, bouchant l'accès au labo.

La porte de la geôle de Nelzehm après explosion

Mais par malheur, il fut décidé de déblayer l'entrée, ce qui nous laissait en tout et pour tout deux heures pour trouver cette satanée gemme de ténèbres qui nous fournirait l'énergie nécessaire au rituel. Et nous n'avions alors aucune idée de qui la possédait.

Les lois de Murphy ne nous laisseraient donc jamais tranquilles ...

lundi 6 juillet 2009

Cadwallon : Acte 2 : Citoyens Syhars au barreau.

Afin de protéger notre laboratoire contre d'autres intrus, nous avons pris une lourde décision : celle d'y envoyer Nelzehm qui devrait s'y enfermer de l'intérieur et y rester pour préparer la cuve à accueillir le rituel, et s'assurer que plus personne n'y puisse entrer, pendant que le reste de notre troupe se chargeait de retrouver les gènes et une gemme de ténèbres puissamment chargée en magie.

Ce qui fut fait.

Cependant un problème plus grave survint. Alors que j'allais m'assurer discrètement de la bonne santé de mon camarade, celui-ci m'avertit paniqué qu'un groupe de gens venait de passer et qu'ils allaient revenir. Je tentais alors de m'éclipser en douce, mais ces derniers me barraient la route et je n'eus pas d'autre choix que d'aller dans leur direction en affichant un air surpris de la découverte que je venais de faire. Tonnerre de Dirz, des Griffons d'Akylanie ! Ces sales engeances me prirent en tenaille, et devinrent d'autant plus méfiants lorsqu'ils apprirent que j'étais Syhar. Entendant ce qui se passait, Nelzehm remonta derrière la porte paniqué et lança le mensonge qui perdura bien après. Il était descendu là avec la voleuse et avait découvert une deuxième porte verrouillé. A ce moment là il avait été assommé et s'était réveillé enfermé entre deux portes qu'il ne pouvait ouvrir, avec a ses pieds une belle toujours inconsciente.
Pendant qu'il contait cela, Ashar et Novius qui me trouvaient long étaient venus s'assurer de ma bonne santé, et se retrouvaient eux aussi piégés par les Griffons. Mais ces derniers débatant surtout de comment ouvrir la porte, nous tentâmes de prétexter à des affaires urgentes et de filer. Mais ces sales lumineux m'assommèrent, me dépouillèrent et me trainèrent, ainsi que mes compagnons grièvement blessé, à la milice, laissant Nelzehm dans sa cave toujours close.
Mais ce qu'ils ne savaient pas, c'est que pendant ma fouille, j'étais conscient depuis peu et jouais le mort. Ces salauds me subtilisaient également mes papiers. Parfait !

Ashur jouant l'assommé aux pieds des miliciens

Nous étions alors étalés sur la place publique, avec la milice qui me "réveillait" et soignait mes compagnons. Voyant que les griffons n'avaient pas donné d'explication claire aux miliciens, je saisis ma chance et prétendis avoir été attaqué alors que je venais de faire la découverte d'une étrange porte close.

Ashur expliquant sa situation, Novius et Ashar toujours inconscients au fond.

Pour mieux nous interroger, les miliciens nous conduisirent en cellule. Lorsqu'ils nous demandèrent nos papiers, je pus affirmer ne plus les avoir, ayant été honteusement fouillé. Les miliciens partirent alors sommer nos agresseurs de rendre nos papiers sous peine d'amende. Mais ces derniers ayant perdu ceux d'Ashar tentèrent de donner le change avec un faux, tamponné par le notaire. Comme nous n'étions pas dupes, nous nous servîmes de cela pour crier au scandale et à la machination. On nous accusait sans preuve et on tentais de nous faire tomber.

Les trois Dirz accusés à tort d'être des Dirz (belle ironie)

Faisant jouer le fait d'être non seulement membres de la guildes des lames mais aussi de la garde du régisseur, nous avons même obtenu réparation de la part de nos agresseurs, et l'affaire a fait un véritable scandale.

Lavés de tout soupçon et pouvant jouer de cela pour acquérir la sympathie des autres (ce que nous ne nous sommes pas privé de faire), nous avons entrepris de trouver ces foutues gènes et cette gemme avant que Nelzehm ne finisse dévoré par les araignées et tout sec.

Cadwallon : Acte 1 : La découverte du labo.

La fenêtre de notre chambre à l'auberge

Après avoir été dument contrôlés par la milice zélée, nous avons décidé de dormir tôt pour récupérer de notre long voyage depuis le désert de Syharalna, décidant de nous lever dans la nuit, pour ne pas être vus.
Notre cher Nelzehm, lui, partait en reconnaissance, cherchant des informations çà et là.
Il noua le contact avec une courtisane qui se trouvait en fait être une voleuse très habile, et lui intima que dans l'espoir de protéger la population des Dirz (dont la présence s'était ébruitée en Cadwallon) il souhaitait être prévenu si elle-même dans ses tribulations venait à tomber sur des éléments importants.

A notre lever, avant l'aube, nous avons faisions la connaissance d'un guerrier a l'allure peu banale, qui se présenta comme étant recruteur pour la guilde des lames. Nous nous sommes attirés sa grande sympathie et il nous a proposé à nous autres Ashur, Ashar, Novius et Nelzehm, d'intégrer ce groupe, qui proposait à ses guerriers des tâches de mercenariat. C'est ainsi que nous sommes entrés à la protection du régisseur de la rue Morgue, la personne la plus importante en place ici.


La guilde des lames (à gauche le recruteur)

Mais une mauvaise nouvelle nous arriva alors aux oreilles : la génothèque avait été trouvée et pillée pendant la nuit, avant que nous la trouvions. il allait falloir trouver les pierres contenant les gènes une a une et les racheter, sinon les voler.
Toutefois cette nouvelle-ci fut compensée par une bonne nouvelle. La courtisane prévint Nelzehm d'une trouvaille dont elle voulait lui faire part. Celui-ci, méfiant, vint nous quérir Ashar et moi pour les accompagner. C'est ainsi qu'elle nous mena au laboratoire souterrain que nous cherchions.
Après en avoir vérifié l'intégrité, mon frère et moi, nous remontions à la surface. Nelzehm ayant eu sa confirmation il ne laissa pas le temps a la voleuse d'aller répandre cette information. Celle-ci fût sommairement assommée, puis, après des questionnements infructueux, transportée dans les souterrains noirs et égorgée là où personne ne pourrait la retrouver ni l'entendre crier.

Première étape accomplie, mais restait à savoir qui avait ouvert le labo avant nous. De plus il fallait à tout prix éviter que quiconque l'ouvre à nouveau. Ici commencèrent tous nos problèmes...

La folle vie d'un graphiste/rôliste/geek.

Espace de parole d'un type captivant et positif... Ah qu'est-ce qu'on se fait chier sur un blog !